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TRAITEMENT DE LA RHINITE A BASE DES PLANTES
LA RHINITE
DEFINITION
Une rhinite peut être définie comme une inflammation des muqueuses de la cavité nasale. Il existe différentes rhinites répondant à diverses causes. Les rhinites peuvent être régulière nécessitant un long traitement. La rhinite est extrêmement répandue. En France on compte près de 6 millions de personnes souffrant d'une rhinite allergique.
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Appelez donc ce numéro +22997324449LES DIFFERENTES CATEGORIES DE RHINITE
La rhinite est une inflammation des fosses nasales. Il existe différents types de rhinites dont les causes sont aussi différentes. De plus en plus répandues dans le monde entier, les rhinites provoquent des conséquences non négligeables pour le patient. Face à la hausse de la pathologie, l'OMS a réalisé en 2001 une nouvelle classification de la maladie.
La rhinite allergique existe sous différentes formes, la plus connue étant le "rhume des foins". Cette pathologie apparaît en règle générale durant le printemps ou l'été en période de floraison. Le pollen, les graminées et les moisissures provoquent des allergies. Il est à noter que la rhinite allergique peut présenter une intensité plus ou moins élevée. Elle sera persistante si elle dépasse les 4 jours durant au moins 4 semaines. Elle sera au contraire intermittente si elle est inférieure à 4 jours par semaine durant 4 semaines.
La rhinite vasomotrice apparait souvent en période de stress. Cette rhinite n'est pas allergique. Elle découle d'une mauvaise régulation du système neuro-végétatif. La rhinite vasomotrice touche plus souvent les femmes.
La rhinite Chronique dure au moins 12 semaines par an. Il s'agit d'une maladie de la muqueuse nasale. La rhinite chronique peut être allergique puisque sa dénomination chronique fait référence à sa durée.
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CAUSES DE LA RHINITE
De façon générale, la rhinite est associé à des agents ou aux affections spécifiques dont voici quelques-uns :
- Changements de température ou de pression barométrique, air turbulent.
- Parfums, fortes odeurs de cuisine, fumée.
- Poussière inorganique (qui est séparée des acariens), pollution de l’air.
- Aliments épicés, alcool.
- Certains médicaments, comme certains comprimés pour la tension artérielle.
- L’excitation sexuelle.
- Stress (émotionnel ou physique).
Les autres causes de rhinite non allergique sont entre autres :
- Rhinite non allergique avec syndrome d’éosinophilie (NARES). Les rhinites éosinophiles (c’est-à-dire les rhinites intrinsèques pérennes) représentant 20 % des diagnostics de rhinites. Certains chercheurs pensent que cela pourrait être un précurseur de la triade aspirine de l’asthme intrinsèque, de la polypose nasale et de l’intolérance à l’aspirine. Un métabolisme anormal des prostaglandines a également été impliqué comme cause de NARES. Des taux élevés d’éosinophiles sont présents dans environ 20 % des frottis nasaux de la population générale. Cependant, les éosinophiles ne présentent pas tous des symptômes de rhinite.
Un trait distinctif des NRAES est la présence d’éosinophiles, généralement entre 10 et 20 %, sur le frottis nasal. En général, les patients atteints de NARES présentent une congestion nasale, des éternuements, une rhinorrhée, un prurit nasal et une hyposmie.
- La rhinite professionnelle est généralement causée par un irritant ou un allergène inhalé (par exemple, les antigènes d’animaux de laboratoire, les céréales, les poussières de bois et les produits chimiques).
Les patients atteints de rhinite professionnelle présentent souvent un asthme professionnel concomitant.
La rhinite hormonale est causée par des déséquilibres hormonaux tels que la grossesse, les états hypothyroïdiens, la puberté et l’utilisation de contraceptifs oraux, l’utilisation d’œstrogènes conjugués.- La rhinite médicamenteuse est causée par plusieurs médicaments, notamment les inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine, la réserpine, la guanéthidine, la phentolamine, le méthyldopa, les bêta-bloquants, la chlorpromazine, la gabapentine, la pénicillamine, l’aspirine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, la cocaïne inhalée, les œstrogènes exogènes et les contraceptifs oraux.
- La rhinite médicamenteuse est considérée comme une rhinite induite par un médicament et résulte de l’utilisation prolongée (c’est-à-dire plus de 5 à 10 jours) de décongestionnants nasaux topiques en vente libre. En général, ces patients présentent une congestion nasale étendue et une rhinorrhée, résultant de la perte du tonus du nerf sympathique, plutôt que de la cause initiale de la rhinite. La fonction nasale normale devrait reprendre dans les 7 à 21 jours suivant l’arrêt des décongestionnants. Les symptômes s’améliorent généralement avec les stéroïdes nasaux.
- La rhinite gustative survient après la consommation d’aliments chauds et épicés. Il s’agit d’un écoulement nasal “humide” (abondant), secondaire à une vasodilatation nasale (dilatation des vaisseaux sanguins) et il est dû à la stimulation du nerf vague, survenant généralement quelques heures après la consommation de l’aliment.
Parmi les affections souvent confondues avec la rhinite non allergique, on peut citer
- Polypes nasaux.
- Traumatisme nasal antérieur.
- Anomalies structurelles, par exemple une déviation de la cloison nasale.
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SYNPTOME ET FACTEUR DE RISQUE
Les symptômes de la rhinite sont nombreux et contraignants. L'intensité et la manifestation de ces symptômes peuvent varier selon les patients. Face à une rhinite chronique les patients rencontreront une obstruction nasale (sensation de nez bouché), un écoulement nasal ainsi que des maux de tête.
La rhinite allergique répond à des symptômes plus spécifiques et plus conséquents qu'une rhinite classique. Ainsi, le patient rencontrera en plus des symptômes de la rhinite classique des symptômes distincts. Des éternuements à répétition ainsi que des démangeaisons de la gorge et du nez. Mais les symptômes les plus typiques se manifestent principalement au niveau des yeux. Des troubles oculaires tels que des larmoiements, des rougeurs et des irritations apparaissent.
Des facteurs de risques des rhinites allergiques peuvent être délimités. Il est conseillé d'éviter au maximum tout contact avec la poussière. Les acariens ainsi que les animaux favorisent aussi fortement les rhinites allergiques. La pollution atmosphérique est particulièrement nocive pour les sujets aux rhinites allergiques.
Les facteurs de risque de la rhinite vasomotrice sont nombreux mais facile à éviter. Encore et toujours, l'hygiène de vie est primordiale. L'alcool et le tabac sont donc à proscrire pour éviter d'encourager l'apparition d'une rhinite vasomotrice. Comme nous l'avons évoqué, la rhinite vasomotrice est souvent provoquée par un état de stress, les émotions vives sont donc à contrôler dans la mesure du possible.
Les symptômes des rhinites fatiguent énormément le patient, pourtant celui-ci peine à trouver le sommeil à cause de congestions nasales. Son partenaire verra lui aussi son sommeil perturbé par les ronflements provoqués par la rhinite. Afin d'éviter les ronflements, il est possible d'utiliser l'orthèse intra-nasale Nastent. Facile et efficace, elle s'adapte à chaque morphologie.
Afin de guérir la rhinite, différents médicaments existent. La congestion nasale nécessite un lavement du nez. De l'eau salé ou un sérum physiologique conviendront parfaitement.
L'homéopathie est possible en cas de rhinite allergique. Lorsque vous savez que durant une période précise de l'année vous êtes sujet aux allergies vous pouvez prendre en prévention une cure d'homéopathie.
Les sujets aux rhinites utilisent de plus en plus de remèdes naturels pour limiter les symptômes. Les huiles essentielles présentent de véritables vertus thérapeutiques en matière de rhinite. Face à une rhinite allergique il est possible d'utiliser des huiles essentielles de menthe poivrée et de lavande pour pallier aux démangeaisons. Afin de décongestionner une inhalation d'eucalyptus sera recommandée.
La racine de réglisse permet d'atténuer la toux. Enfin, il est possible de boire du thé vert chaque matin. Ce thé permettra d'apporter un anti-allergique.
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COMMENT TRAITER LA CANDIDOSE NATURELLEMENT ?
LA CANDIDOSE
Description
La candidose, aussi désignée muguet ou moniliase, est une infection aux levures. Candida albicans est un organisme qui normalement élit tranquillement domicile sur votre peau et ne dérange personne. Il se retrouve dans les voies génitales féminines, et nous le transportons tous sur notre peau, dans notre bouche et notre tube digestif (les intestins).
De temps à autre, les levures se multiplient d'une façon incontrôlable, provoquant de la douleur et de l'inflammation. La candidose peut également survenir sur la peau, notamment sur les muqueuses du vagin et de la bouche ainsi que sur la peau du pénis. Elle peut aussi se propager dans le système sanguin ou se développer dans certains viscères comme le foie et la rate. Dans la très vaste majorité des cas, cependant, les infections touchent la peau, la bouche et le vagin. C'est aussi une cause courante de l'érythème fessier du nourrisson. Bien qu'ennuyeuses, ces infections ne menacent pas la vie du sujet infecté.
La candidose peut s'avérer fatale quand elle atteint la circulation sanguine ou des organes vitaux comme le cœur, mais il s'agit de cas rares, même lorsqu'il s'agit de personnes dont les systèmes immunitaires sont affaiblis, et encore plus rares quand elle touche des personnes en bonne santé. La candidose est néanmoins une source constante d'inconvénients, et parfois une menace grave pour les personnes atteintes du sida et pour certains patients atteints d'un cancer qui n'ont pas les ressources immunitaires nécessaires pour lutter contre cette infection.
Formes de candidose, causes et manifestations
Les levures Candida peuvent affecter une ou plusieurs parties du corps, entrainant des infections superficielles, dont les plus courantes sont les suivantes.
Candidose buccale
Candidose buccale
La candidose buccale, couramment appelée le muguet, touche la cavité buccale et concerne notamment les nouveau-nés, les patients qui sont soumis à des immunosuppresseurs, traitements antibiotiques, ou à des corticoïdes massifs, les sujets atteints du sida, ou encore affaiblis par d’autres maladies graves (cancer, diabète, infection urinaire chronique).
Cette infection se traduit par la présence de dépôt blanchâtre sur les muqueuses de la bouche, entrainant des brûlures et des désagréables picotements. Ce signe peut être également accompagné d’autres symptômes, tels que douleurs, perte d’appétit, inflammation, irritation et inconfort lors de la déglutition.
En l’absence de traitement adéquat, cette infection présente un risque de se répandre et atteindre d’autres organes, comme le larynx et l’œsophage. La candidose prend alors ici la forme de candidose œsophagienne ou oropharyngée. Cette affection est, cependant, rare et ne se produit généralement que dans le cadre d’une infection au VIH sida.
Candidose génitale
La candidose génitale est un autre cas très fréquent de l’infection due à l’espèce Candida albicans. Cette affection n’est cependant pas considérée comme une maladie sexuellement transmissible (MST), mais due surtout à une mauvaise hygiène de vie ou à une tare physiologique, qui perturbe le pH des muqueuses génitales.
Chez la femme, l’on parle de candidose vaginale, ou de candidose vulvo-vaginale, appelée également vaginite candidosite. D’après une étude épidémiologique, pas moins de 75 % des femmes connaissent une fois dans leurs vies un épisode de candidose vaginale. Les risques de récidive, en cas de traitement inadéquat ou de facteurs favorisant le déséquilibre de la flore vaginale, sont très élevés. Les traitements à base d’antibiotiques ou de corticoïdes sur le long terme, le diabète sucré, l’utilisation de produits de toilette trop agressifs, l’augmentation du taux d’œstrogène due à une grossesse ou à la prise de pilules contraceptives, les stérilets ou tout simplement le port de sous-vêtements synthétiques, peuvent favoriser le risque de contracter cette vaginite.
Les principaux signes cliniques de la candidose vaginale se traduisent par un écoulement vaginal blanchâtre ou leucorrhée, sans odeur dérangeante. Les pertes verdâtres, avec odeur persistante d’amine (similaire à une odeur de poisson), concernent surtout les infections d’origine bactérienne. Dans certains cas, les patientes peuvent également se plaindre de dyspareunie d’intromission, autrement dit de douleurs lors des rapports sexuels, de prurit vaginal, et de dysurie externe ou difficulté à uriner. Ces symptômes apparaissent surtout quelques jours avant les règles.
Chez la gent masculine, la candidose génitale se présente sous forme d’une urétrite, ou inflammation de l’urètre, qui se manifeste par un écoulement et de dysurie. Cette infection peut être, parfois, associée à une balanite, qui est une inflammation du gland du pénis. Des taches rouges, associées à des irritations et douleurs, en sont les principaux signes. Dans le cas d’une balanite à Candida, le patient doit être traité adéquatement, pour ne pas infecter sa partenaire sexuelle.
Candidose cutanée
La candidose cutanée, connue aussi sous le terme d’infection candidosique, touche notamment la peau et les phanères (poils, cheveux, et ongles). Cette forme de candidose se développe notamment au niveau des parties du corps sujettes à l’humidité, telles que les aisselles, l’aine, les zones interdigitales, sous les seins, entre les fesses, et sous les ongles. L’affection se présente sous forme de rougeurs recouverts de couche blanchâtre, ou de tuméfaction douloureuse et inflammatoire.
Formes compliquées de la candidose
La candisose systémique, ou candidémie, sont l’une des formes les plus graves de la candidose, avec un taux de mortalité moyen de 40 à 50 %. Bien que rare, cette affection insidieuse peut être la conséquence d’une contamination nosocomiale exogène, notamment chez les sujets ayant eu des cathéters intravasculaires ; ou bien d’un passage des levures ayant colonisés le tube digestif ou l’appareil génital vers le sang. Ce second cas est favorisé par la fragilisation ou l’ulcération des muqueuses dues à un déficit de globules blancs par exemple, à des traitements antibiotiques de longue durée, ou encore après une chimiothérapie.
Cette forme compliquée de la candidose doit être surveillée étroitement car peut engendrer des maladies graves, telles que méningite, AVC, péricardite bactérienne et arthrite ankylosante. Les sujets les plus susceptibles de le contracter sont surtout ceux hospitalisés auprès des services de chirurgie, d’hématologie et d’assistance respiratoire.
La baisse des défenses immunitaires, chez les sujets sidéens ou soumis à des corticoïdes de longue durée ou encore à des immunodépresseurs, risque de favoriser d’autres formes également graves de la candidose, comme la candidose viscérale et le granulome moniliasique.
Causes
La candidose ne s'attrape pas. La levure est déjà sur place. Un certain nombre de facteurs peuvent accroître les risques de prolifération de la levure. L'une des causes les plus fréquentes étant la surutilisation des antibiotiques. Pour pouvoir vivre sur nous, les levures doivent rivaliser avec divers autres organismes dont la majorité sont des bactéries. Ces bactéries, qui se développent sur la peau, dans l'intestin et dans le vagin, entre autres endroits, sont inoffensives mais combattent efficacement les levures. Quand des antibiotiques sont prescrits afin d'éliminer des bactéries plus nocives, ils détruisent également les bactéries qui ne présentent aucun danger. Les levures qui ne sont pas touchées par les antibiotiques se propagent dans les lieux laissés vacants par les bactéries, et commencent à se développer et à se multiplier.
Les stéroïdes et certains médicaments contre le cancer affaiblissent le système immunitaire et peuvent favoriser la prolifération des levures. Les infections de la bouche par Candida albicans (aussi désignées muguet buccal) touchent le plus souvent des personnes atteintes de maladies comme le cancer et le sida. Les personnes atteintes de diabète et celles qui portent des dentiers leur causant une irritation chronique sont aussi plus susceptibles aux candidoses buccales. La prise de contraceptifs oraux accroît les risques d'apparition d'une candidose vaginale. Les températures chaudes, la mauvaise hygiène et les vêtements serrés représentent également des facteurs de risque, car ils créent l'environnement idéal pour le candida
D'autres facteurs qui favorisent la prolifération de Candida sont notamment l'obésité et la grossesse. La levure infecte généralement les régions intertrigineuses, c'est-à-dire les endroits où la peau est en contact avec elle-même Les personnes en surpoids possèdent plus de replis cutanés. Elles transpirent également plus que les autres et Candida albicans aime la peau humide. La grossesse entraîne un accroissement des taux d'œstrogènes, ce qui augmente les risques d'infection.
La candidose n'est pas considérée comme une infection sexuellement transmissible car il est peu probable qu'une femme infectée la transmette à son ou sa partenaire sexuelle. Cependant, si l'infection continue à réapparaitre, le ou la partenaire sexuelle pourrait subir également un traitement.
Symptômes et Complications
Les infections de la peau par Candida entraînent l'apparition d'une plaque cutanée rouge, bien définie, qui démange et laisse perler un liquide. Elle peut être bordée de croûtes et de pustules. Elle siège habituellement dans des régions comme l'aine, les plis des fesses, l'espace entre les seins, les orteils ou les doigts et dans le nombril. Cette plaque peut être difficile à voir sur la peau foncée de certaines personnes.
Une infection vaginale à levures peut provoquer l'écoulement d'une substance épaisse, blanche, à l'aspect grumeleux comme du fromage cottage avec peu ou pas d'odeur. Elles se manifestent dans le vagin par une démangeaison ou une sensation de brûlure, surtout durant l'émission de l'urine ou les rapports sexuels qui génèrent souvent de la douleur ou une sensation d'inconfort.
Le panaris superficiel périunguéal est une forme de candidose qui touche les ongles. Cette infection est plus fréquente chez les personnes qui ont souvent les mains dans l'eau. Elle entraîne parfois un gonflement douloureux et rouge des doigts. Dans les cas les plus graves, les ongles peuvent se décoller et révéler un lit unguéal décoloré blanchâtre ou jaune.
Le muguet buccal provoque l'apparition de plaques blanches ressemblant à du lait caillé à l'intérieur de la bouche, sur la langue et le palais et autour des lèvres. Il peut également provoquer l'apparition de régions fissurées, rougeâtres et humides sur la peau à la commissure des lèvres. Les plaques de muguet provoquent parfois de la douleur.
Les infections du pénis provoquées par Candida sont rares, mais elles peuvent entraîner le gonflement et la coloration rouge de l'extrémité du pénis, ainsi que des douleurs.
TRAITEMENT NATUREL DE LA CANDIDOSE
RECETTE UTILE
L’extrait de l’ail
L’ail (Allium sativum L.), réputé pour son action antifongique, figure parmi les remèdes naturels dont les effets sur les Candida albicans ont fait l’objet d’analyses scientifiques. L’expérience a été menée sur des rats normaux et des rats diabétiques induits par Streptozotocine, ayant ou non des problèmes de candidose. Les sujets ont été départagés en 6 groupes de 15 individus, dont un groupe de rats normaux servant de témoin, un groupe de rats non diabétiques infectés de Candida albicans, un groupe de rats infectés ayant pris des extraits d’ail, un groupe de rats diabétiques, un groupe de rats diabétiques infectés de Candida albicans, et un dernier groupe de rats diabétiques avec candidose soumis à des traitements à base d’extrait d’ail.
PREVENTION
Les quelques mesures d'hygiène ci-après peuvent contribuer à prévenir la candidose génitale :
- Essuyez-vous de l'avant vers l'arrière après avoir fait vos besoins - les levures sont présentes en grand nombre dans la région rectale ;
- Épongez-vous bien après un bain, et veillez tout particulièrement à sécher les poils du pubis - au besoin, employez un séchoir à cheveux au réglage le plus bas ;
- Abstenez-vous de savonner la région vaginale - le savon tue les bactéries utiles et n'a aucun effet sur les levures ;
- Stérilisez ou jetez les sous-vêtements que vous avez portés durant votre dernière infection - l'eau de lavage à la machine n'est pas suffisamment chaude, vous devez les faire bouillir si vous voulez les garder. Vous devez également vous procurer de nouveaux diaphragmes ou de nouvelles capes cervicales) ;
- Évitez les substances chimiques contenues dans les tampons parfumés et les douches vaginales, elles n'ont aucune utilité et peuvent provoquer une infection.
- Évitez les collants et les pantalons serrés ;
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TRAITEMENT NATUREL DE L'HEMIPLEGIE A BASE DES PLANTES
L’HEMIPLEGIE
SOMMAIRE INTRODUCTION
Généralement causée par un AVC, l’hémiplégie résulte en une paralysie invalidante. Si elle n’est pas traitée rapidement, elle peut entraîner des conséquences sur l’autonomie et la vie quotidienne de la personne atteinte. Qu’est-ce que l’hémiplégie, quels sont ses symptômes, ses causes et quels sont les traitements existants ?
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Définition de l’hémiplégie
L’hémiplégie est une paralysie du côté droit ou gauche du corps en raison d’une atteinte du système nerveux central, c’est-à-dire du cerveau et de la moelle épinière. Elle est généralement causée par un problème circulatoire comme un AVC, une tumeur ou un traumatisme du cerveau. La transmission de messages nerveux impliqués dans le mouvement des membres est interrompue : la paralysie qui s’ensuit diminue ou abolit entièrement la capacité à bouger le bras et la jambe touchés. Soit bras et jambe sont atteints, ou seulement l’un ou l’autre, et parfois le visage. On parle d’hémicorps quand la paralysie touche la moitié gauche ou droite du corps. Enfants et adultes peuvent en être victimes.
Il existe 2 grand types d’hémiplégie : l’hémiplégie spasmodique ou spastique raidit les muscles, tandis que l’hémiplégie flasque leur fait perdre leur force. Elle est totale quand les mouvements des membres sont impossibles, ou partielle quand le malade arrive à les bouger un peu. Lorsque l’atteinte du bras et de la jambe est identique, l’hémiplégie est proportionnelle. Si les membres atteints sont différents, elle est non proportionnelle.
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categorie d'HEMIPLEGIE: Hémiplégie gauche et hémiplégie droite
L’hémiplégie droite est liée à une atteinte de l’hémisphère gauche du cerveau, tandis que l’hémiplégie gauche est liée à une atteinte de l’hémisphère droit. Les conséquences sur le malade sont différentes : l’hémiplégie droite provoque des troubles du langage en plus des troubles moteurs. Dans le cas d’une hémiplégie gauche, l’hémiplégique peut avoir le sentiment que la partie atteinte ne lui “appartient” plus, ou que ce qui est présent de ce côté de son corps “n’existe plus”, ce qu’on appelle l’héminégligence. Il peut alors subir un trouble de l’orientation.
Par ailleurs, il existe plusieurs formes d’hémiplégie en fonction du degré de handicap :
- L’hémiplégie totale, aucun mouvement existe ;
- L’hémiplégie partielle, quelques mouvements restent possibles ;
- L’hémiplégie proportionnelle lorsque les membres sont atteints de la même manière ;
- L’hémiplégie non proportionnelle quand l’un des membres est plus atteint que l’autre.
Cette paralysie est en lien avec une atteinte du système nerveux central, c’est-à-dire affectant le cerveau et la moelle épinière. Les ordres de mouvement envoyés par le cerveau ne sont plus transmis aux muscles. Ceci témoigne d’une lésion unilatérale de la voie pyramidale qui regroupe plusieurs fibres nerveuses allant du cortex cérébral aux différents niveaux de la moelle épinière. C’est, en effet, cette voie nerveuse qui est responsable de la contraction musculaire.
Le plus souvent, une hémiplégie est la conséquence d’un accident vasculaire cérébral ou AVC. Un accident vasculaire cérébral peut être défini comme étant un déficit brutal d’une fonction cérébrale sans autre cause apparente qu’une cause vasculaire. On parle d’AVC lors d’une interruption brutale du flux sanguin au niveau du cerveau, privant une ou plusieurs parties de ce dernier d’oxygène et ayant pour conséquence leur dysfonctionnement puis leur mort en quelques minutes. Les AVC peuvent avoir deux origines différentes : une interruption de l’irrigation d’une partie du cerveau à cause d’un caillot qui bouche une artère, on parle alors d’AVC ischémique, ou une hémorragie cérébrale en cas d’AVC hémorragique. Un AVC est donc une urgence vitale. L’AVC est la première cause de handicap acquis chez l’adulte. C’est également la troisième cause de mortalité en France.
Enfin, bien que moins fréquentes, il existe d’autres causes d’hémiplégies : une tumeur du système nerveux central, un traumatisme, une infection virale (VIH), une méningite, la tuberculose.
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Quelles sont les causes de l'hémiplégie ?
Pour comprendre l'apparition de ces différents symptômes, il faut comprendre l'origine d'une hémiplégie. Celle-ci est liée à une atteinte du système nerveux central, c'est-à-dire que les ordres en provenance du cerveau et de la moelle épinière ne sont pas correctement transmis à l'ensemble des muscles. En cas d'hémiplégie, une lésion survient au niveau de ce système de transmission des messages moteurs à destination des muscles. Si elle survient sur la partie gauche, la paralysie se manifestera sur le côté droit, et inversement. Ces lésions sont généralement liées à la survenue d'une pathologie ou d'un traumatisme comme :
- Un accident vasculaire cérébral ou AVC, qui est lié à un dysfonctionnement de la circulation sanguine au niveau du cerveau ;
- Une hémorragie cérébrale, qui survient à cause d'un écoulement de sang en dehors des voies de circulation sanguine au niveau du cerveau ;
- Une ischémie cérébrale, c'est-à-dire une diminution de l'apport sanguin au niveau du cerveau ;
- Un traumatisme crânien ;
- Une tumeur cérébrale ;
- Un coma, altération totale ou partielle de différentes fonctions de l’organisme ;
- Une infection du système nerveux ;
- Une pathologie inflammatoire, comme la sclérose en plaques qui est une maladie qui affecte notamment le cerveau et la moelle épinière.
C’est l’AVC qui est la principale cause de l’hémiplégie. Touchant le système nerveux central, donc le cerveau et la moelle épinière, c’est aussi la première cause de handicap acquis. En bloquant l’irrigation du cerveau ou en conduisant à une hémorragie cérébrale en raison d’une rupture artérielle, l’AVC conduit à un défaut d’alimentation en oxygène de la partie touchée. Les cellules nerveuses meurent, provoquant des symptômes plus ou moins prononcés. L’hémiplégie est donc une conséquence de cet accident circulatoire. Les séquelles qui en résultent peuvent être permanentes ou régresser grâce à une rééducation.
D’autres facteurs peuvent provoquer une hémiplégie, même s’ils sont moins fréquents : un traumatisme cérébral avec hématome par exemple, une tumeur, ou encore une infection comme une encéphalite, une méningite ou le VIH. Certaines maladies du système nerveux peuvent également provoquer une hémiplégie, comme la sclérose en plaques.
Le diagnostic de l’hémiplégie est réalisé par un neurologue qui analyse les symptômes pour déterminer l’hémisphère du cerveau touché. Il vérifie notamment la force musculaire et les réflexes des membres. Un IRM ou un scanner du cerveau permet de localiser la zone concernée.
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Quels sont les symptômes d'une hémiplégie ?
Affectant les mouvements d'un ou plusieurs muscles, une hémiplégie peut se manifester de deux façons différentes :
- L'hémiplégie spasmodique, où les muscles atteints sont raides ;
- L'hémiplégie flasque, où les muscles atteints sont mous et affaiblis.
En plus d'empêcher certains mouvements du corps, une hémiplégie peut être accompagnée d'autres troubles comme :
- Des troubles de la parole, avec des difficultés à s'exprimer ;
- Des problèmes oculaires, comme la perte de la moitié du champ visuel, ou l'apparition d'une vision double ;
- Des difficultés pour s'alimenter et déglutir ;
- Des troubles émotionnels, avec une perte de la maîtrise de soi et une sensation d'irritabilité ;
- Des troubles cognitifs, comme des pertes de mémoires ;
- Des troubles sensoriels, se manifestant notamment par des sensations désagréables au niveau des membres paralysés comme des picotements ou des brûlures ;
- Des complications pour l'élimination urinaire, avec l'apparition d'une incontinence urinaire ;
- Des complications pour l'élimination intestinale, avec l'apparition d'une constipation ;
- Des troubles sexuels, comme des troubles de l'érection ou une perte de libido.
Lorsqu’une hémiplégie est partielle, c’est-à-dire que des mouvements restent possibles, on observe une diminution de la force musculaire associée à une faible mobilité. Cela se manifeste par une maladresse, des troubles de la marche, une grande fatigue et des chutes fréquentes du côté atteint.
En cas d’hémiplégie totale, les mouvements ne sont pas possibles, et les réflexes sont inexistants. Le signe de Babinski est présent : quand on touche le côté extérieur de la plante du pied, on constate une extension du gros orteil, alors que chez un individu sain cette stimulation est responsable d’une flexion.
On observe également une modification du tonus musculaire : les muscles sont raides et contractés en cas d’hémiplégie spastique, ou au contraire mous et flasques lors d’une hémiplégie flasque. Par ailleurs, au niveau du visage, lorsque celui-ci est atteint, on peut constater une chute de la paupière ou un sourire asymétrique qui témoignent d’une atteinte des muscles du visage.
En dehors des troubles moteurs, d’autres symptômes existent :
- Une douleur au niveau des membres atteints ;
- Une aphasie, c’est-à-dire des difficultés à s’exprimer et à comprendre certains mots ;
- Des troubles sphinctériens qui se traduisent par une incontinence urinaire, ou inversement une rétention urinaire, ou une incontinence fécale ;
- Des troubles sexuels, notamment de l’érection et de l’éjaculation chez les hommes. On constate très souvent une diminution de la libido chez les patients.
Certaines complications peuvent se manifester suite à une hémiplégie, par exemple des douleurs dans les articulations immobilisées, une fragilisation osseuse, des escarres (en lien avec une même position prolongée) ainsi que des troubles de la circulation avec un risque de phlébite ou d’œdème.
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INFECTIONS A CYTOMEGALOVIRUS
INFECTION A CYTOMEGALOVIRUS
SOMMAIRE
INTRODUCTION
Le cytomégalovirus (CMV) est un virus appartenant à la famille des Herpès-Virus.
Dans un organisme infecté il peut se trouver dans les urines, les sécrétions sexuelles (sperme et sécrétions vaginales), la salive, les expectorations, le lait maternel et le sang ainsi que les organes atteints.
Le terme de cytomégalovirus est employé car le virus entraîne l'augmentation de taille des lymphocytes (cellules sanguines) signe caractéristique d'une infection par le CMV.
Le CMV est une affection virale normalement inoffensive, mais qui peut être grave pour les personnes immunodéprimées. C'est un virus en règle générale responsable de peu de symptômes chez les individus dont le système immunitaire est efficace, responsable de fatigue ou autre symptômes faibles et peu caractéristiques telles que des douleurs ou de la fièvre, mais elle peut être grave chez les personnes immunodéprimées ou chez la femme enceinte. L'incubation est de 20 à 40 jours en moyenne mais c'est très variable.
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Causes de contamination
Cette maladie est fréquente chez les séropositifs à des stades avancés de la maladie. Très souvent chez l'individu sans pathologie autre, l'infection causée par ce virus passe inaperçue ou se manifeste simplement par de la fatigue. " La contamination est essentiellement le fait de la salive et des urines ", explique le Dr Philippe Mironneau, gynécologue et obstétricien à Dijon. Elle peut aussi se faire par les sécrétions intimes et les larmes.
Les causes de transmission du cytomégalovirus sont causées par les fluides corporels, c’est-à-dire les fluides corporels :
- La salive.
- Le sang.
- L’urine.
- Le sperme.
- Lait maternel.
Elle peut être transmise lorsque la personne infectée contient activement le virus et peut être transférée par contact avec le sang ou d’autres liquides organiques d’une personne atteinte de cytomégalovirus, ou lors de rapports sexuels, mais il n’est pas très fréquent que cela se produise lors d’une transplantation d’organe ou par transfusion sanguine, bien que cela puisse se produire.
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Appelez donc ce numéro +22997324449Symptômes cmv
Parfois, l'individu atteint peut présenter de la fièvre, des douleurs diffuses. Chez le patient VIH, c'est par contre une infection potentiellement grave se manifestant souvent par une atteinte de la rétine, des inflammations au niveau digestif ou neurologique.
Les symptômes du cytomégalovirus sont généralement légers ou, dans de nombreux cas, asymptomatiques. S’il y a une manifestation de cette infection, il est possible qu’elle puisse être confondue avec n’importe quelle autre pathologie, de sorte que beaucoup de gens ne savent même pas qu’ils ont été infectés. Ces symptômes peuvent l’être :
- Mal de gorge et maux de tête.
- Fièvre.
- Fatigue et faiblesse.
- Glandes enflées.
- Douleurs musculaires
- Perte d’appétit.
En revanche, dans les groupes à haut risque infectés par le cytomégalovirus ou ceux dont le système immunitaire est faible en raison de maladies telles que le VIH ou qui ont récemment subi une transplantation et sont sous traitement médical, les symptômes du virus peuvent être plus graves :
- Perte de la vue et de l’ouïe.
- Des crises d’épilepsie.
- Handicap mental.
- Saignement dans les intestins.
Mode de transmission cmv
Le CMV est excrété dans les urines et la salive pendant des mois voire des années après l'infection puis celui-ci persiste à l'état de latence, il peut être excrété à nouveau en cas d'immunodépression.
La transmission se fait par contact direct cutané ou muqueux (urines, salive, lait maternel, sécrétions vaginales, sperme), ou au cours d'une grossesse de la mère au fœtus, ou lors de transfusions de sang ou greffes d'organes. Les enfants porteurs du germe sont très nombreux de nos jours.
Cytomégalovirus et grossesse
L'infection à cytomégalovirus est une maladie virale qui peut avoir de graves conséquences si elle se déclare pendant une grossesse. En effet, si la maladie atteint le fœtus, de nombreuses séquelles sont possibles allant d'un retard psychomoteur, à des séquelles auditives, un retard de croissance. Dans certains cas, une mort in utero peut se produire. Selon le Haut conseil de la santé publique "la plupart des nouveau-nés infectés asymptomatiques à la naissance ne développeront pas de handicap, seuls 10% pourront développer une surdité jusqu'à l'âge de 5 ans".
Le taux de transmission augmente avec le terme mais les séquelles sont plus graves en cas de transmission au cours du premier trimestre. C'est pourquoi il est important de confirmer l'infection chez la mère et d'estimer son ancienneté. Pour cela, plusieurs examens biologiques sont possibles.
Les personnes à risque
Il existe des populations dites à risque où le CMV peut donner une maladie grave : les malades immunodéprimés, greffés, sidéens, femmes enceintes non immunisées. Ces femmes enceintes doivent être très vigilantes si elles sont en contact avec des enfants en bas âge.
Les personnels soignant et le personnel des crèches peuvent être en contact avec des porteurs du CMV, les précautions pour éviter de transmettre le virus sont importantes à connaître.
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comment éviter une infection CMV A UN ENFANT ?
- Ne pas embrasser l'enfant sur la bouche
- Ne pas goûter dans son assiette, finir son plat
- Ne pas sucer la tétine du bébé
- Ne pas embrasser un bébé qui pleure sur les joues
- Ne pas aspirer le nez d'un bébé enrhumé sans précautions (il faut utiliser des mouchois notamment et se laver les mains)
- Ne pas prendre un bain avec un bébé qui risque d'y uriner
- Se laver les mains après avoir toucé les jouets, vêtements mouillés par l'urine
Dans un communiqué du 3 décembre 2019, le CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français) annonce être conscient du danger lié à l'infection congénitale due au CMV et de ses conséquences. Il y rappelle la nécessité d'informer les futurs parents sur le virus, et les mesures de prévention efficaces pour éviter la contamination pendant la grossesse "le plus tôt possible, idéalement avant la grossesse". Une sérologie pour dépister la maman peut aussi être réalisée avant ou au début de la grossesse, "après information et discussion avec le couple des avantages et inconvénients, des conséquences et possibles difficultés d'interprétation des sérologies et de prise en charge". Pas de dépistage systématique donc, en raison de "l'absence de preuves suffisantes de l'efficacité du traitement préventif de la transmission materno-fœtale ou curatif des fœtus infectés" explique le CNGOF.
Conseils utiles contre le cytomégalovirus pendant la grossesse
Pour l'heure, la seule véritable manière de se prémunir du CMV consiste à respecter les recommandations d'hygiène suivantes :
- Eviter le contact avec la salive (incluant les bisous sur la bouche, les urines, les larmes, et les sécrétions nasales). Si vous êtes enceinte, évitez donc d'embrasser un bébé, ou un enfant de moins de trois ans sur la bouche, ou sur les joues pour le consoler lorsqu'il est en train de pleurer.
- Ne pas utiliser la même cuillère, manger dans l'assiette ou partager le même verre que l'enfant. Il est recommandé de ne pas goûter ou finir le plat de bébé, ni partager l'assiette, la bouteille ou un gâteau.
- Ne pas mettre sa tétine à la bouche. De nombreuses mamans ont tendance à sucer la tétine pour la nettoyer, ou à mettre le biberon dans la bouche pour vérifier la température du lait, mais ces "mauvaises habitudes" augmentent les risques. A la place, vous pouvez tester la température avec le dos de la main, ou si besoin goûter son repas avec une autre cuillère.
- Eviter de prendre un bain avec son bébé (qui pourrait uriner dans l'eau). Le HCSP conseille également aux femmes enceintes d'éviter de toucher le pyjama mouillé de son enfant.
- Si votre bébé est enrhumé, le HCSP recommande aux parents de ne pas l'embrasser sur les joues, ni aspirer son nez sans précautions. En cas d'utilisation d'un mouche-bébé par exemple, il est préférable de le nettoyer immédiatement en suivant la notice. Vous pouvez également utiliser des mouchoirs en papier, et les jeter immédiatement après usage.